
La période prénatale est riche en possibilités d’imprimer certaines programmations négatives.
Même si le fœtus semble être à l’abri dans le ventre de sa mère et semble ne pas interagir avec son environnement, il est en réalité en proie à tout ce qui se produit et perçoit tout ce qui se passe à l’extérieur.
Parfois même, le fœtus, dans ses tentatives pour se connecter à son environnement, va rechercher encore plus activement les stimuli disponibles, c’est-à-dire y compris les émotions d’autrui. C’est comme s’il allait créer des sortes de «tentacules» pour mieux percevoir son environnement et l’appréhender.
En séance, certains patients me disaient: «J’ai pris la tristesse de ma mère.»
Et chaque fois que j’entendais ce type de phrase, je sentais au plus profond de moi que cela venait de plus loin que cela, et pas vraiment, ou pas uniquement de la mère, mais que la mère était en quelque sorte un vecteur d’informations pour ce fœtus.
C’est ainsi que j’ai commencé à explorer les liens entre les vies antérieures et la période prénatale.
Si un événement, quel qu’il soit (bruit, odeur, luminosité, rencontre, états d’âme des parents, etc.), rappelle au fœtus un événement vécu dans une vie antérieure auquel il a associé une émotion négative, alors l’entente de ce bruit (par exemple), risque de réveiller en lui les émotions négatives auxquelles il les a associées, et alors il ressentira ces émotions pour des raisons a priori inexplicables.
Par ailleurs, le fœtus, étant un individu en formation, crée sa base de données inconsciente et fait d’innombrables associations d’idées.
Exemple
Une jeune femme avait déclenché une anorexie sévère à l’âge de 25 ans.
La raison était simple! Tandis que sa mère était enceinte d’elle, la tante avait fait une blague, disant à la mère : «Quelle grosse baleine tu fais! Qu’est-ce que ce sera quand tu seras à neuf mois?»
Le fœtus avait capté cette information, la percevant comme une moquerie rabaissante. Pourtant, la tante l’avait dit comme une plaisanterie comique.
En relevant des détails complémentaires, il ressortait que la mère était âgée de 26 ans au moment de cette grossesse. Nous avons donc compris que le fœtus avait associé l’âge de 26 au risque de moqueries concernant le poids.
Et donc, pour s’assurer de ne pas être traitée de «grosse baleine» à 26 ans, la patiente avait déclenché l’anorexie juste avant, à 25 ans.
Après cette prise de conscience cruciale d’un événement plutôt «anodin», nous avions traité ce blocage émotionnel. En corrigeant la base de données du fœtus, la patiente avait commencé progressivement à reprendre du poids.
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