Il est possible de faire des séances de thérapies karmiques et/ou de mémoires d’enfance pour les enfants, sans restriction d’âge.
Toutefois, le déroulement et la durée varient en fonction de l’âge et de la maturité de l’enfant.
Pour plus d’informations sur les séances de thérapies karmiques, merci de vous référer à la page dédiée.

Corrélations familiales dans les thérapies pour enfants
Mon expérience m’a démontré à maintes reprises que les histoires familiales se répètent.
Les enfants produisent des schémas que leurs parents avaient déjà expérimenté eux-mêmes durant leur propre enfance.
En conséquence, un décodage émotionnel complémentaire entre l’enfant et les parents peut se révéler extrêmement utile.
Ceci permet de mieux cerner les blocages émotionnels de l’enfant en vue de les résoudre profondément et durablement.
Rappelons que les émotions des enfants sont les mêmes que les émotions des adultes. Ce qu’ils vivent n’est pas “moins grave”, simplement parce qu’ils sont plus jeunes ou que leurs schémas semblent moins profondément ancrés.
Il est donc toujours bénéfique de travailler sur une problématique avant qu’elle ne s’aggrave.
Il faut aussi tenir compte des résonances émotionnelles dans la famille, notamment avec les parents et frères et sœurs.
Je procède souvent à des séances pour enfants corrélées à des séances pour les parents.
Il n’est d’ailleurs pas rare qu’un parent fasse une séance pour lui-même avant de faire une séance pour son enfant. Cela favorise une meilleure synergie thérapeutique dans la maisonnée et permet généralement d’aller plus loin lors de la séance pour l’enfant. Par conséquent, cela apporte davantage de réponses et de potentiels résultats.
De nombreuses familles décident de faire une séance pour chaque membre, bien que cela ne soit pas obligatoire.
Après une séance, il est essentiel d’encourager le dialogue au sein du foyer, afin de continuer à discuter des liens émotionnels que le parent et/ou l’enfant comprennent rétrospectivement.
Ceci permet d’amplifier les résultats, même si ceux-ci prennent parfois un peu de temps pour apparaître. Rappelons que ces thérapies visent à corriger des schémas datant de plusieurs années, voire siècles (dans le cas de régressions dans les vies antérieures).
Durées des séances de thérapie pour les enfants
Thérapies pour les enfants de moins de 10-12 ans
En règle générale, si l’enfant a moins de 10-12 ans, la séance dure environ 2h.
La partie «régression» pour les jeunes enfants est facultative. Si le parent décide de laisser son enfant y procéder, la régression se concentre uniquement sur la vie actuelle, de manière simplifiée, pour être facilement comprise et traitée par l’enfant.
Les aspects plus sensibles sont traités par moi-même, en collaboration avec le parent, que je guide à la place de l’enfant.

Thérapies pour les adolescents de plus de 10-12 ans
Généralement autour de 10-12 ans, l’enfant atteint une certaine maturité.
L’adolescent parvient alors à bien comprendre les discussions sur les blocages émotionnels et les répercussions du passé sur le présent.
Dans ce cas, la séance se déroule comme une séance «pour adulte», mais avec la présence d’un parent.
Par conséquent, de telles séances peuvent durer 3h, voire davantage, en fonction des souhaits du parent et de l’enfant.
Remarques
Pour des raisons légales, il est impératif qu’un des parents accompagne l’enfant ou l’adolescent mineur pendant la séance.
Il est important de préciser que toute information potentiellement trop sensible ou bouleversante pour l’enfant ne sera pas abordée en sa présence!
Dans ce cas, le parent sera pris à part et l’information délicate lui sera exposée. Ensuite, le parent pourra choisir de la communiquer ou non à son enfant. Ou alors, il pourra aussi décider du moment opportun pour en discuter avec lui.
Grâce à nouvelle technique TMA©, il n’est pas nécessaire que l’enfant soit présent durant la séance et les résultats sont tout aussi satisfaisants.
Par exemple, pour les enfants très jeunes (moins d’un an), il est difficile de maintenir une séance thérapeutique pendant plusieurs heures. Dans de telles situation, plusieurs options sont possibles :
- Un des parents se rend seul au cabinet et “prend la place de l’enfant” pendant la partie de régression afin de traiter les blocages émotionnels de l’enfant à travers le parent ;
- Les parents prévoient qu’une autre personne responsable vienne prendre en charge l’enfant après la première partie de la séance ;
- Un parent ou les deux parents se rendent au cabinet et ma collègue, Nathalie Hirt, intervient pour “prendre la place de l’enfant” pendant la partie de régression.
Comme pour les autres séances, les séances pour enfants sont aussi disponibles par Skype.